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Sauve-toi la vie t'appelle, de Boris Cyrulnik

  • Brigitte Chérel
  • 8 janv. 2021
  • 1 min de lecture

Dernière mise à jour : 14 mai 2021





L'auteur dit dans sa préface que sa première naissance est le jour où la police nazie a fait irruption dans sa chambre pour l'arrêter. Il était un enfant juif.

Mais grâce à l'action des justes, il réussit à se sauver et à aller de cachettes en cachettes.

Il va vivre une série d'évènements qui vont lui permettre peu à peu de se construire sa mémoire. Il a le souci de retrouver une structure mentale et de se socialiser. Il va réussir grâce à la présence d'un élément affectif, un copain à surmonter ses handicaps de départ. Le manque d'argent par exemple. A la fin de la guerre, certains de ses amis vont se réunir et se cotiser pour lui fournir la somme dont il a besoin pour passer le bac. Je me permets d'ouvrir une parenthèse. Roselyne Bachelot, notre actuelle ministre de la culture considère qu'il est très important pour la jeunesse de se retrouver et d'évoluer à l'ombre des parents. Empêcher les rassemblements de jeunes est selon elle, une grave erreur.


Après ses études, il va réussir à devenir interne d'un hôpital.


C'est ainsi que va commencer sa carrière. Boris Cyrulnik est à présent neuropsychiatre, directeur d'enseignement à l'Université de Toulon. Il a écrit Les Vilains Petits Canards, Parlez d'amour au bord du gouffre, de Chair et d'âme et Autobiographie d'un épouvantail.



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